facebook-domain-verification=6w0n0lvc6wi03529mguwrqykfs3fpo Boris Bervelt Ostéopathe D.O. | J'ai mal à mes ancêtres
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J'ai mal à mes ancêtres

   Comment expliquer le grand retour des ancêtres en psychothérapie ? Freud n'ignorait pas leur importance : chacun de nous n'est pas seulement déterminé par le triangle papa-maman-bébé, mais aussi par une cascade d'influences venues de son arbre généalogique. Certes, le fondateur de la psychanalyse avait assez à faire avec l'œdipe, et c'est consciemment, selon certains, qu'il aurait remis l'étude des ascendances à plus tard. Beaucoup plus tard. Il aura fallu attendre un siècle pour que la dimension transgénéalogique soit vraiment reconnue par les " psy ". Et brusquement, cette reconnaissance prend l'allure d'un mouvement. Sur le thème où que vous soyez, vous transportez votre famille avec vous - bénissez-la... mais libérez-vous-en ! la psychogénéalogie émerge dans de nombreuses pratiques et écoles. C'est à une large présentation de celles-ci qu'est consacré J'ai mal à mes ancêtres, sous la forme de sept entretiens avec des acteurs majeurs de ce mouvement.

 

    Pr Anne Ancelin Schützenberger, qui s'est retrouvée sur la piste transgénérationelle en butant sur d' "étranges maladies à répétition"

 

    Alexandro Jodorowcky, qui se révèle avoir été l'un des premiers à redécouvrir l'importance de l'arbres des ancêtres.

 

    Bert Hellinger, qui dit avoir été inflencé par la culture zoulou dans l'intervention des fameuses" constellation familiales"

 

    Didier Dumas, qui ouvre le transgénérationnel à la Bible et à des dimensions non occidentales : taoïsme, chamanisme, etc.

 

Chantal Rialland, qui affirme que chacun peut influer sur son destin en "choisissant sa famille"

 

Serge Tisseron, qui focalise son attention sur les "secrets de famille" qui deviennent pathologiques.

 

Vincent de Gaulejac, qui démontre que les arbres généalogiques se regroupent par grandes familles sociologiques.

 

 

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